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LIVRE d'OR
Quitter
 
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  1 a écrit, le 15/02/2016 à 08H53 :
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  -1' a écrit, le 15/02/2016 à 08H53 :
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  Verdure a écrit, le 01/03/2007 à 18H39 :
  Dans les prés le désordre ne peut pas cacher la lumière.
  André a écrit, le 01/02/2007 à 07H28 :
  Il pleure des vies dans la lumière à peine éclose l'iris suit de près la belladone sur le sentier qui plonge vers la vallée où s'accomplissent les rituels des oiseaux et des baies la pluie niche dans le feuillage du vieux chêne au seuil des crépuscules miraculeux un livre de poésies sans parole à portées terrestres la nature nous enseigne le fil de feu du voyage imaginaire où se forme, couleur après couleur, notre perception de ce que nous nous entêtons à NOMMER la réalité sur la rive secrète des rêves et l'eau dans ses vas et vients perpétuels ravit notre attente silencieuse ___ détachement sensible
  Jean a écrit, le 26/12/2006 à 20H43 :
  J'ai fait un tour ce matin du côté de ton (monde)s...Les Pleureuses m'ont interpelé..Il n'y avait lieu de rien dire..tous les yeux étaient mouillés et les coeurs serrés..
  Jean a écrit, le 26/12/2006 à 20H42 :
  J'ai fait un tour ce matin du côté de tes (monde)s...Les Pleureuses m'ont interpelé..Il n'y avait lieu de rien dire..tous les yeux étaient mouillés et les coeurs serrés..
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